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La valeur d’un bien immobilier s’est longtemps concentrée uniquement sur son emplacement (belle vue, beau quartier, exposition plein sud) et sa localisation (Paris, Cannes, Toulouse ...).
Les étiquettes énergie et environnement obligatoires pour toute transaction donnent la valeur énergétique et environnementale d’une maison et impactent désormais la valeur immobilière du bien.
Mais depuis peu, on y ajoute d’autres éléments : la proximité des transports en commun et des commerces ou écoles, la performance du système de chauffage et de l’isolation du bien (murs, sols et vitrages) mais aussi le gain de temps et les économies grâce à la domotique ... tous ces nouveaux critères ont un poids aujourd'hui dans l’acte d’achat ou de location d’un bien.
Ainsi, avec l’augmentation des prises de conscience pour les bâtiments à haute performance énergétique et environnementale, les Français dans leur grande majorité reconnaissent l’intérêt d’une valeur verte de leurs biens immobiliers.
Selon une étude de l'Ademe, cette valeur verte intéresse 76% des Français et peut représenter jusqu’à 30% de la valeur marchande dans l’immobilier ancien.
Le chauffage, ainsi que les objets connectés de la maison, associés à un confort d’utilisation, apportent leur contribution à cette efficacité d’énergie active et sont à prendre en compte dans la valeur immobilière. Un bien similaire mais dépourvu d’un système de chauffage performant ou d’appareils connectés se vendra ou se louera moins bien.
Valeur verte, chauffage connecté, maison connectée, …, font donc partie de ces nouvelles externalités qui vont redonner un nouveau prix de marché à l’immobilier.
Citons la liste, non exhaustive et sans ordre d’importance, de ces points forts :
1. étiquette énergétique et environnementale,
2. efficacité énergétique active,
3. bien immobilier connecté et pilotable,
4. connexion au réseau Internet de haut débit, fibre optique, etc, …
5. connexion aux facilités de transport en commun,
6. connexion aux commerces de proximité,
7. confort acoustique,
8. qualité d’air intérieur,
9. biodiversité c’est-à-dire apport de végétation et confort visuel,
10. adaptation du bien aux étapes de la vie jusqu’au 3ème âge,
11. adaptation et flexibilité aux changement d’usages du bien durant sa durée de vie (par exemple chambre en bureau),
12. adaptation aux services connectés tels que l’assistance médicale,
13. poids carbone du bâtiment et recours à des matériaux bas carbone et biosourcés,
14. Etc, …
Dans tous les cas, les investisseurs ou les nouveaux propriétaires ont tout intérêt à tenir compte de ces paramètres pour valoriser leurs biens ; l’aspect « objets connectés » en fait partie.
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